La côte sauvage et le sud de l’île d’Oléron, des secteurs qui demeurent fragiles et vulnérables. Preuve en est avec les récentes tempêtes Carmen et Eleanor qui ont rongé un peu plus le cordon dunaire, en particulier de la pointe espagnole à l’embouchure de l’estuaire de la Seudre, à La Tremblade. Une étendue de sable logée entre la forêt de La Coubre et le pertuis de Maumusson qui s’érode au gré des intempéries. C’est ce que nous dit Jean-Pierre Tallieu, président de la Communauté d’agglomération Royan Atlantique :

Et certains arbres, enracinés dans le sable et situés en haut des dunes, menacent de s’effondrer, et de fragiliser davantage la dune. L’Office national des forêts évalue actuellement les dégâts causés par les intempéries et les travaux à réaliser.
Côté rive gauche de l’estuaire de La Seudre, au nord de la presqu’île d’Arvert, c’est le phénomène inverse qui se produit. Jean-Pierre Tallieu :