L’ex-jihadiste assigné à résidence à Saint-Jean-d’Angély, qui a entamé une grève de la faim mercredi dernier. La LDH juge le gouvernement responsable du sort de l’Algérien de 43 ans, condamné par le passé pour terrorisme, qui craint une assignation « à perpétuité » en raison d’une nouvelle proposition de loi qui doit être adoptée jeudi à l’Assemblée nationale. L’association appelle le gouvernement à mettre un terme à cette situation qu’elle qualifie d’inacceptable.