J-3 avant la rentrée scolaire. Et cette année encore, c’est le casse-tête des TAP, les Temps d’activité péri-éducatifs. Nés de la réforme des rythmes scolaires en 2013, ces activités facultatives sont proposées par les municipalités. Et trois ans après leur mise en place, tout le monde ne part pas sur un pied d’égalité. A Royan ou dans l’agglomération de Saintes, on a décidé de faire payer ces activités, comme c’est le cas pour une commune sur trois en France. Alors que d’autres maintiennent la gratuité. L’exemple à Tonnay-Charente avec Catherine Prévos, adjointe aux affaires scolaires :

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Une gratuité d’autant plus facile à soutenir que les associations locales jouent le jeu :

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En Charente-Maritime, d’autres communes conservent la gratuité des TAP, comme Marennes, Saint-Jean-d’Angély, ou encore Surgères.