Devoirs à l’école : le point de vue de la FCPE 17

Les devoirs à l’école, bonne ou mauvaise idée ? C’est en tout cas ce que projette le Ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer pour la rentrée prochaine. L’objectif est de permettre aux élèves de faire leurs devoirs à l’école, sur un temps extra-scolaire plutôt qu’à la maison. Une réforme destinée à lutter contre les inégalités sociales et scolaires. Cependant, celle-ci ne fait pas l’unanimité chez les parents d’élèves. Et certaines interrogations demeurent, comme le souligne Karine Aullier, présidente de la FCPE en Charente-Maritime :

Les devoirs à l’école. Une mesure qui restera difficile à mettre en œuvre selon Karine Aullier :

Le Ministre devrait apporter des précisions sur cette mesure dans les jours qui viennent, alors que le retour de la semaine de quatre jours a été validé par décret mercredi dernier, sans toutefois abroger la semaine de 4 jours et demi.

Breuil-la-Réorte : une météo en temps réel pour une agriculture raisonnée


Pour pallier les problèmes de sécheresse et de manque d’eau pour l’irrigation agricole, des agriculteurs charentais-maritimes testent actuellement le concept Weenat. Une société née il y a 3 ans qui propose de faciliter le travail des exploitants et les aider à mieux gérer leurs ressources pour une agriculture plus raisonnée. De la semie à la récolte, l’application informe de la situation météorologique en temps réel grâce à des capteurs : pluies, température, vent, humidité, l’application va même jusqu’à donner des conseils d’irrigation. Jérôme Le Roy, fondateur du concept :

Les agriculteurs forment des communautés pour pouvoir profiter et partager les données de leurs capteurs répartis sur le territoire. Une soixantaine est déjà en fonctionnement dans le département qui possède la plus grande communauté. Stéphane Gicquel, responsable commercial de Weenat :

Christophe Pacaud exploitant agricole à Breuil-la-Réorte, près de Surgères, fait partie de cette communauté, pionnière du projet Weenat. Il nous en explique tout l’intérêt :

Le reportage est signé Matisse Sorignet.